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L'amour est quelque chose de très rond.

16 septembre 2009

La pensée du jour 2

C.L

La femme d'aujourd'hui ne se plaint plus d'étre un objet sexuel, au contraire, elle aime l'idée de le devenir.
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16 septembre 2009

Les mots sont l'arme du menteur

Les mots sont l'arme du menteur

C’est d’accord, je t’accueil. Je n’ai pas l’intention d’abuser de toi, de tes charmes, de ton corps ni même de faire couler une quelconque larme. Non je n’ai pas l’intention de te prendre dans mes bras dès que l’occasion se présentera ni même de te faire croire que je m’intéresse à ta vie. Pourquoi ferais je ça ? Non je n’aime pas le sexe. Non je ne te désire pas, tu n’es pas l’objet de mes rêves même si je te trouve magnifiquement belle, plus belle que n’importe quel autre femme qu’il m’a été permis de regarder, de toucher, de posséder… Non je ne te mens pas, comme je n’ai pas menti à mes cinquante autres conquêtes. Mince, ce n’est pas ce que je voulais dire, que dirais tu d’aller boire un verre avant que je ne partage avec toi la moitié de mon lit ? J’ai sommeil ne t’en fais surtout pas, et je te l’ai déjà dis, je n’ai aucunement l’intention de me laisser aller au vice ce soir. Est ce mal de te proposer un toit pour la nuit ? Tu ne vas pas rester dehors par un temps pareil, regarde toi, tu trembles. Excuse moi, c’est un reflexe, je ne voulais pas te prendre dans mes bras mais, tu es congelé. Allons, ne restons pas ici par un temps pareil. Tu me suis ? Allez, nous regarderons un film, 2046, connais-tu ? Une histoire d’amour, oui, je l’ai visionné une quinzaine de fois… Ah… Non je ne me souviens plus de la fin, à croire que je n’ai jamais eu l’occasion de le regarder entièrement. Un faux plan ? Penses tu! Voilà notre belle époque, je tiens à t’éviter de dormir sous un pont, à trainer sur les trottoirs en attendant le lever du jour et tu oses me suspecter ? Pas de ça avec moi, je suis une personne sincère et honnête. Allez viens…

Plutôt pas mal la déco ne trouves tu pas ? Bien sur, tout est de moi. Non,non je n’ai pas d’ami décorateur d’intérieur, qui t’as raconter ça ? Moi ? Tu as du boire un verre de trop. D’ailleurs, puis-je t’en resservir un? Fais toi plaisir, tout le plaisir est pour moi. Mets toi à l’aise voyons, il fait chaud ici, bien plus chaud que dehors. D’ailleurs, si ça ne te dérange pas, je vais retirer ce pull, je meurs de chaud. Qu’est ce qu’il fait chaud! Et toi, n’as tu pas chaud? Que suis-je bête, le chauffage tourne plein pot. Pardonne moi, je suis un peu bête parfois. Chose à part, que fais tu de ta vie ? Très intéressant, j’adore également, à croire qu’on est fait l’un pour l’autre, on a exactement les mêmes gouts! C’est dingue, enfin, sache juste que je trouve que tu es une femme merveilleuse. N’y vois aucun sous entendu, ce soir si il le faut je dormirais sur le sofa. Je tiens à te prouver ma bonne foie. On se le lance ce film ? C’est partie.

Tu n’y comprends rien ? Laisse moi t’expliquer… Je trouve cette histoire des plus magnifiques. Pas toi? J’avoue, c’est un peu un film de fille, mais je n’y peux rien, c’est mon petit coté féminin. Je suis bien trop sensible, désolé, je suis juste en admiration devant toutes sortes de beauté. Je n’avais jamais remarquer ce petit grain de beauté. Je te le jure! C’est mignon. Arrêtes, je ne suis pas du tout, mais vraiment pas d’accord avec toi, je trouve qu’il te va très bien. Mais si, tu es jolie, à toi de trouver quelqu’un qui saura te mettre en confiance. Arrête vraiment, ça m’énerve, tu es une fille craquante, je suis sur que tu as cent hommes à tes pieds chaque matin. Non, je ne suis pas un beau parleur ni même un dragueur invétéré. Je suis très timide tu sais? Je n’aime pas aborder les femmes, à tel point que je suis tout le temps seul. Ta compagnie me fait du bien, elle me revigore, de l’air frais enfin. Tu peux repasser quand tu veux… Fatigué? On peut aller se coucher si tu le souhaites. Il n’y a pas de problème, allez ce soir, tes désirs sont des ordres. Un dernier verre avant d’aller dormir? Pourquoi suis-je si proche tout d’un coup? Je n’ai pas l’intention de t’embrasser, ne rêve pas trop. Je plaisante, bien sur que tu es désirable, c’est juste que je ne veux pas que tu penses que je t’ai inviter dans l’unique but de découvrir un nouveau corps de plus, dans le but de m’enivrer de tes charmes, de parcourir ton corps, de poser mes lèvres sur les tiennes, de t’inonder de baiser avant de pénétrer ton être.

Je suis désolé, je n’ai pas pu résister, je crois que… Je crois que je suis entrain de tomber amoureux. Je t’aime. Tu es parfaites…

Allo? Comment ça va? Oui c’était fantastique, se voir aujourd’hui? Désolé, mais ça ne va pas être possible, je suis inviter à…………

Mr.Sunderland

15 septembre 2009

La pensée du jour

Tels les instruments de musique, les femmes resistent... Du moins elles resistaient.

14 septembre 2009

Chienne de soirée

Public avertie, cette nouvelle contient des caractères pornographique…

Chienne de soirée

Vingt heure sonna, les yeux dans le vide, l’esprit ailleurs Natasha finit par être gagner par l’ennuie. Cette grande brune au allure de fille facile attendait depuis maintenant presque une heure Paul, son compagnon et époux depuis peu. Il était sensé aller chercher un couple d’amis de longue date, Julien et Claire, deux connaissances de lycée qu’ils n’avaient jamais réellement perdu de vue… Natasha ne se sentait pas au mieux de sa forme, elle était assez craintive, en effet, depuis toujours elle suspectait une relation extra-conjugalextra-conjugal unissant sa moitié à celle qu’elle surnommait avec un malsain plaisir “Bouche à pipe” ou “Blonde des trottoirs”. Blottit dans son sofa de cuir noir, elle fit le tour de la pièce d’un regard et se mit à compter les secondes, puis les minutes se perdant ainsi dans des méandres temporelles infini… Toujours rien.

Cette belle brune débordant de charme de par son corps qu’on aurait pu croire sculpter par la main de Dieu en personne mais encore par un caractère des plus farouches, des plus gourmands. Elle avait d’hors et déjà tout prévu, la façon dont elle enverrait Claire se coucher, la manière dont elle userait pour attirer les deux hommes à elle… Cela faisait déjà un moment qu’elle fantasmait sans cesse sur le fait de se retrouver à genoux coincé entre deux mâles la désirant elle, et seulement elle. Elle alla jusqu’à enfiler ce qu’elle possédait de plus glamour, de plus sexy, de plus femme. Sa courte jupe en satin noir cachait un minuscule string en dentelle de la même couleur brodé à la main, cachant lui même un strict minimum, un minimum désirable, aliénant. Tandis que son chemisier entrouvert laissait apparaître une poitrine ferme, courbes parfaites maintenant en état de charme par la force de son jeune âge. Une poitrine ne demandant qu’à être caresser, lécher, comprimer, maltraiter, une poitrine ne demandant qu’un sexe à accueillir en son sein.

Le fait de se perdre de nouveau dans ses fantasmes les plus délurés ne la laissa pas de marbre, une envie malsaine finit par envahir son corps tout entier. Elle se laissa aller, s’allongea d’avantage dans le sofa avant de laisser ses mains caressés lentement ses seins, elle écarta légèrement les cuisses et glissa sa main vers le cœur de son charme en laissant échappé un petit gémissement. D’un doigté de fée, preuve d’une dextérité exemplaire, elle fit monté le plaisir à folle allure, des images toutes plus tordus les unes que les autres inondaient son esprit, elle se voyait à quatre pattes sur Paul alors que Julien lui caressait l’anus avant d’y insérer son sexe. Au bord de l’extase… Si proche que lorsque son chien intrigué par la chose passa par là pour reniflé le charme camouflé entre ses cuisses, elle le laissa faire, elle finit même par guider le sexe de la bête en elle, le membre bandé, débordant de vigueur et avant tout surexcité fit jouir Natasha en moins de temps qu’il n’en faut pour le dire. Le sperme du chien finit par couler le long de ses cuisses alors que la belle se caresser encore, en ayant sur les doigts, elle les porta à sa bouche, enfonçant ses doigts aux creux de ses lèvres pour nettoyer tout ça.

Remise de ce qui venait de se passer, elle essaya de ne plus trop y penser, le problème n’étant pas d’avoir prit son pied avec un chien, mais d’avoir bien plus apprécié que si ce fut avec n’importe quel homme. L’horloge indiquait maintenant vingt heure quarante cinq, elle réalisa que ses invités n’étaient toujours pas là. Inquiète, elle prit sa veste et descendit les étages de son immeuble histoire de pouvoir les guetter au loin à partir de la porte d’entrée. Un frisson lui parcouru l’échine, le froid? Un reste d’excitation? Peu importe. Arrivez au rez-de-chaussée, elle entendu un râle ou un gémissement, quelque chose du genre, de féminin. Curieuse de nature, elle se glissa discrètement en frôlant les murs de crépis vers le lieu d’où émaner ces bruit, en descendant aux sous sols, ils se firent de plus en plus fort, elle comprit ce qui se passer, elle passa sa tête par l’ouverture d’une porte mal fermé et resta fixé un long moment bloqué par ce qu’elle venait de voir.

Une vision d’horreur? N’allez surtout pas croire ça… Allongé sur une table, Claire engloutissait la verge de son compagnon en elle tout en léchant le sexe de Paul, le compagnon et époux de Natasha. Ces courbes pleine de grâce étaient constamment en mouvement sous les violents coups qu’elle recevait. Elle avait l’air d’adorer ça. Voilà qui expliquer leur retard. Natasha n’avait pas l’intention de faire un scandale mais il n’était pas non plus question pour elle que cette petite garce de “Blonde des trottoirs” s’approprie son fantasme. Elle ne resta donc pas discrète longtemps et tout en les rejoignant elle retira veste et chemisier laissant à l’air libre s’exhiber sa généreuse poitrine afin de leurs faire comprendre ses intentions. Elle se lécha les lèvres avant d’embrasser langoureusement le compagnon de Claire, ce dernier laissa de coté sa femme et se concentra sur notre jolie brunette. Elle s’agenouilla, prit son sexe à pleine main et le suça sensuellement tout en fixant son époux des yeux comme pour le punir de cette infidélité. Le sexe de Julien gonfla, il se durcit d’avantage et gagna en longueur, désireux, il la pénétra sèchement. Cette salope était trempée, elle gémissait sur chaque coups de reins, se courbant sous la force de la charge.

Au même moment, Claire, haineuse, ne prit nullement bien le fait que Natasha s’incrusta dans son plaisir et elle comptait bien écourter le tout! Elle guida Paul vers une voie bien plus étroite, bien plus orgasmique pour l’égo d’un mâle en rut. Elle se pencha sur la table et accueille sa verge en elle en faisant abstraction de toute douleur. Dès les premiers aller-retours, elle donna le rythme, l’imposa de manière effréné alors qu’elle se stimulait le clitoris de façon violente. Le vice de cet homme lui fit un mal fou, un mal bon, un mal tellement bon qu’elle finit, à sa grande surprise, par jouir comme jamais auparavant, un jet liquide coula le long de sa jambe et la laissa sans voix, immobile et parsemée de spasme de plaisir. Paul y alla d’avantage, fière de lui, il finit par se retirer et lâcha le tout sur les fesses de ce coup d’un soir, il l’étala longuement, lui remettant par là même occasion une main par ci, par là…

Natasha y mit alors tout son art pour offrir à Julien quelque chose d’aussi bon, d’aussi inoubliable. Elle était quelque part jalouse, elle allait se forcer à aller plus loin. Elle donna un coup de poignet bien placé, un coup de langue délicieux et le regarda fixement en lui demande d’en finir tout en ventant la taille de son manche. Il ne se fit pas attendre, elle enfonça son sexe au plus profond de sa gorge à plusieurs reprise et le masturba frénétiquement jusqu’à ce qu’il déverse sa semence sur son visage. Elle en avala le maximum, étala le reste sur son visage avec le pénis de son compagnon du soir, fit mousser le tout sur ces lèvres avant d’insérer une dernière fois le vice de Julien entre ses lèvres… Qu’elle avait trouvé ça bon, excitant, enivrant, orgasmique…

L’esprit de compétition crée entre ces deux femmes a profité à ces messieurs et Dieu seul sait, à quel point ils en furent ravis.

Mr.Sunderland

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L'amour est quelque chose de très rond.
  • L’amour est quelque chose de très rond, on y parle toujours de courbes, de seins, de fesses, de lèvres… Des formes douces, une impression de douceur au pays des névrosés perverties par le sexe. Mal être garantie - Public avertie. Erotico-Pornographique
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